C'est une institution, et pourtant, la Verrerie de Biot est menacée par la flambée des prix de l'énergie. Expert dans le domaine depuis près de 70 ans, cette entreprise familiale fait tourner ses fours 24 heures sur 24 à 1400 degrés.
Résultat, une facture qui a quasiment triplé depuis la hausse du coût de l'électricité. La gérante, Anne Lechaczynski, avait pourtant investi dans du matériel électrique, moins polluant. Elle compte maintenant sur les aides de l'Etat pour faire baisser sa facture.