C’est un journaliste de 31 ans qui travaille à « Mouais, le mensuel dubitatif », qui comparaissait ce jeudi pour les dégradations sur la permanence d’Eric Ciotti, député Les Républicains. Pour rappel, elles ont été commises dans la nuit du 18 au 19 mars contre le local du président des LR, situé quai des Deux-Emmanuel, au port de Nice.
Présenté en comparution immédiate, ce jeudi, le journaliste a bien reconnu les faits et se présente comme un militant anarcho-libertaire. Le seul débat qui a été évoqué c’est le choix de le laisser en liberté ou de la placer en détention provisoire.
Il sera jugé le 26 septembre prochain, en attendant, il est placé sous contrôle judiciaire et devra pointer chaque semaine à la caserne d’Auvare à Nice. Il a aussi l’interdiction d’entrée en contact avec Eric Ciotti de quelque manière que ce soit.