Dans un communiqué, le maire de Nice et président de la Métropole Nice Côte d'Azur se félicite d'avoir vu le Président de la République avoir "dessiné une feuille de route pour sortir de la crise sociale dans laquelle se trouve le pays".
"A travers les trois chantiers qu’il a fixé autour de la valeur travail, de l’autorité de l’Etat et de l’école, ce sont toutes les forces vives de la nation qui doivent se mobiliser et être largement associées pour faire de ces 100 jours une réussite. Les élus locaux au premier rang desquels les maires qui sont les premiers concernés par ce constat puisqu’ils sont quotidiennement en contact avec leurs administrés ont un rôle majeur à jouer. En effet, ils sont les élus envers lesquels nos concitoyens se tournent lorsque le pays se grippe. Les mots de confiance du Président de la République à l’égard des collectivités doivent conduire à leur confier la mise en œuvre décentralisée de cette feuille de route, partout où leur action peut être plus efficace que celle de l’Etat et à chaque fois qu’elles sont candidates à une expérimentation", poursuit Christian Estrosi.
Son rival Eric Ciotti a évidemment été beaucoup moins conquis. "Emmanuel Macron donne le sentiment qu’il commence son mandat alors qu’il est élu depuis six années à la tête de l’Etat. J’accueille avec scepticisme ce catalogue de vœux pieux, certes louable, mais très peu concret !", a tweeté le président des Républicains.