Or, selon les syndicats, la raison de ce licenciement est plus que douteuse puisqu’il s’agirait de sa participation à six journées de grève contre la réforme des retraites. Toujours d’après eux, du point de vue de la direction, la salariée en question n’était pas assez efficace et discutait trop.
Mise à pied pendant 11 jours, l’employée a reçu le soutien du président du comité stratégique de Leclerc, Michel-Edouard Leclerc qui a condamné cette procédure au micro de BFMTV : "Elle n’est pas défendable. Je ne la soutiendrai pas".
Cette situation a quelque peu dégénéré puisque les forces de l’ordre ont dû intervenir ce lundi matin pour stopper des bagarres ayant eu lieu avec des clients. Une centaine de syndicalistes avaient bloqué l’entrée du supermarché pendant une heure et avaient déambulé dans les différents rayons du magasin.