Dans un communiqué de presse, la mairie de Nice se félicite de la décision du tribunal administratif qui a rejeté le référé liberté concernant la destruction d'Acropolis et introduit par le collectif associatif 06 pour des réalisations écologiques.
Ce dernier réclamait en urgence l'arrêt des travaux de démolition du bâtiment, estimant que cela entraînait la disparition des habitats de chauves-souris et de reptiles.
"Donnant une nouvelle fois raison à la Ville de Nice, le Tribunal administratif a notamment relevé que la démolition s’inscrivait dans un projet de végétalisation d’un quartier très urbanisé et que l’extension de la Promenade du Paillon serait favorable à la biodiversité et donc à la conservation et au développement de ces espèces qui profiteront des espaces verts. S’appuyant sur le diagnostic écologique établi par la Ville de Nice, il a par ailleurs retenu que l’impact de la démolition sur les espèces protégées concernées serait faible et qu’il n’y avait pas de risque caractérisé d’atteinte aux chiroptères, aux reptiles et aux oiseaux", indique la mairie.
Le projet de prolongement de la Promenade du Paillon se poursuit donc avec moins d'encombres.