Marine Lloris, compagne du célèbre gardien formé à Nice Hugo Lloris, a raconté s'être présentée à la polyclinique Saint-Jean de Cagnes-sur-Mer à cause d'une "allergie sérieuse" se propageant rapidement.
"Je n’étais pas une urgence, car je n’avais pas de numéro de sécurité sociale. Pour eux, j’étais quelqu’un dont il fallait se méfier, mais pas quelqu’un qu’il fallait soigner en urgence. (…) Par crainte de ne pas être payé, ils m’ont demandé de quitter les lieux sans même vérifier mon état de santé", a-t-elle dénoncé sur son compte Instagram.
Mais la polyclinique Saint-Jean a réfuté cette thèse auprès du Figaro, expliquant que les urgences étaient bondées et qu'il avait été signifié à Marine Lloris qu'elle ne serait pas examinée en priorité. "Celle-ci n’a pas souhaité attendre. Elle est donc partie", glisse la présidente de l'établissement Alexandra Cittadini.
Cette dernière nie également la non-prise en charge des patients qui n'ont pas leur carte vitale sur eux, expliquant soigner parfois des personnes arrivées en maillot de bain sans document d'identité.
La polémique ne s'arrête pas là. Car la compagne de l'ex-capitaine des Bleus et de Tottenham a estimé qu'avec cette interview, Alexandra Cittadini "réécrit l'histoire".
"Qu’il y ait un manquement dans le process de gestion de l’arrivée des malades est une chose, que la direction de la clinique m’attaque personnellement et remette en doute ma parole pour le justifier est aussi grave qu’indigne", conclut Marine Lloris.