Pour éviter tout débordement et suivre les consignes du ministère de l'Intérieur, la préfecture des Alpes-Maritimes a décidé de l'interdire, évoquant "des risques de troubles à l'ordre public, d'affrontements entre militants extrémistes, de la persistance de la menace terroriste et de la recrudescence d'actes antisémites".
Les services de l'Etat préviennent par ailleurs que "les organisateurs ne respectant pas cette interdiction s'exposent à une peine de 6 mois d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende. Quant aux participants ils s'exposent à une amende de 750 euros".
Reste à savoir si le rassemblement aura tout de même lieu ce samedi à 15h30 place Garibaldi. Un important dispositif policier devrait être déployé.