Depuis 2016, une trentaine de personnes ont perdu la vie sur cette route, selon un rapport préfectoral récemment rendu public par le comité de quartier.
L'association locale dénonce l'inaction des autorités de la Métropole, qui, selon elle, n'ont pas suffisamment agi pour améliorer la sécurité sur cet axe fréquenté.
Face à ces accusations, la Métropole rétorque en mettant en avant les investissements réalisés pour sécuriser le secteur. Ce débat prend de l'ampleur à l'approche des élections municipales de 2026.